Mouvement Initiative et Liberté

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Une communication du MIL

FACE À L’ISLAMISME IL FAUT DÉFENDRE LA LIBERTÉ


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Repère : De nombreux médias français ont lancé un appel pour la liberté d’expression intitulé ; «Ensemble, défendons la liberté». Cet appel a été reproduit par plus d’une centaine de journaux.


Des journaux, de tendance politique diverses, dénoncent les menaces qui pèsent sur la liberté d’expression. Les quotidiens nationaux sont tous au rendez-vous (L’Équipe, L’Humanité, L’Opinion, La Croix, Le Figaro, Le Monde, Le Parisien, Les Échos, Libération) mais aussi la plupart des quotidiens régionaux, tout comme les hebdomadaires (Charlie Hebdo, Le Canard enchaîné, L’Express, Le Journal du dimanche, L’Obs, Le Point, La Vie).


Ce manifeste constate les menaces de mort formulées sur les réseaux sociaux, les menaces d’organisations terroristes islamistes internationales, des pressions provenant d’États étrangers contre des journalistes français (et la France en général). La violence des mots a laissé la place à la violence physique, comme en 2015 lors des assassinats de journalistes et de dessinateurs à Charlie Hebdo. La liberté d’expression est inscrite dans la Constitution. Elle apparait menacée par une idéologie politique totalitaire islamiste qui puise, prétendument, sa source dans des textes religieux. En France, le délit de blasphème n’existe pas et cette question ne saurait faire débat.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère qu’il y a effectivement un vrai combat quotidien à mener. Chacun doit participer à la défense de nos libertés et doit appeler l’État à intervenir en ce sens sur notre territoire comme à l’étranger avec une détermination totale.

Il y a une réelle possibilité que les menaces ou des attentats conduisent à une inhibition de l’expression c’est-à-dire à ce que des journalistes choisissent de ne plus parler en refusant de prendre des risques. Il peut se développer ainsi un plus grand étouffement de la liberté d’expression dans le silence le plus complet. Par exemple, il apparait que des médias choisissent fréquemment de ne pas nommer clairement les choses ou de ne pas lancer des investigations sur la réalité de terrain des foyers de soutien à l’islam politique. Il en est de même concernant les propositions de mesures «contre la radicalisation» qui évitent volontairement de la qualifier d’islamiste.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère qu’il faut être clair et nommer toutes les menaces, y compris l’ennemi islamistes, leurs complices et leurs soutiens. Ces derniers, les islamo-gauchistes continuent à apporter un soutien de circonstance à l’islam politique intégriste car ils veulent voir dans l’immigration d’origine musulmane une réserve prolétarienne pour la révolution marxiste.


Dans cet esprit, le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) doute que Macron et Castex prennent des mesures sérieuses face aux actes de développement de l’islam politique en France. Rien n’a été fait depuis le début du quinquennat en 2017 car la volonté manque pour mettre en œuvre des fermetures, des interdictions, des expulsions et des poursuites. Le refus de tout risque d’affrontement, qui conduit au laissez-faire, est une caractéristique de la gauche sociale-démocrate au pouvoir (LREM et MoDem).


Un projet de loi se prépare, mais le choix par Macron et ses communicants du terme «loi contre le séparatisme» vise à éviter de condamner l’islamisme intégriste en France (comme porteur d’une mise en cause radicale des valeurs de la République) alors qu’il faudrait se baser sur le modèle de l’interdiction existante du nazisme. Le texte concernerait bien le contrôle des associations et de leur financement, la neutralité religieuse des agents de la fonction publique mais sans citer explicitement l’islamisme intégriste.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) craint que ce texte «général» ait, au final, un effet pervers. La rédaction de ce projet de loi devrait viser les écoles islamistes et pourrait parvenir, par ricochet, à mettre en cause des écoles privées catholiques hors contrat, qui se trouvent dans le viseur de la gauche depuis les années 80 et le retrait de la loi Savary ! Cette question sensible devra être suivie de très près.