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VI­GILANCE & AC­TION - N° 367 JANVIER 2018


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


IL FAUT CASSER LA SPIRALE MIGRATOIRE VERS LA FRANCE


Communication du MIL du 12 janvier 2018


Référence : Le seuil «officiel» des 100.000 demandes d’asile par des étrangers a été dépassé pour la France en 2017 avec par ordre décroissant : les Albanais, les Afghans, les Haïtiens, les Soudanais, les Guinéens, les Syriens, etc. Ce chiffre ne compte que les personnes identifiées dans cette procédure. Près de 43.000 personnes ont été admises à rester en France (nombre en hausse de 17 % par rapport à 2016) aux titres du statut de réfugié (36.000) et de la protection subsidiaire (7.000). Tandis que les migrants déboutés du droit d’asile, se trouvant donc en situation irrégulière, n’ont pas été expulsés, pour la grande majorité.


La circulation en France de ressortissants étrangers est largement ouverte pour des raisons diverses, notamment pour tourisme, études en France, contrats de travail. Les règles de ces entrées et sorties sont différentes selon les pays. Les critiques sur le caractère supposé fermé de notre pays sont totalement infondées. Une part des étrangers entrés légalement demeurent sur le territoire de manière illégale au lieu de repartir après leur séjour. D'une part, l'identification des étrangers en situation irrégulière n'a pas pleinement lieu. D'autre part, s'ils sont identifiés, leur expulsion du territoire est rare par manque de volonté politique. Le nombre des clandestins s’accroit donc très régulièrement. Ce chiffre est, en plus, augmenté par les déboutés des demandes d’asiles qui deviennent des clandestins : plus de 57.000 en 2017 !


Des étrangers entrent en France de manière illégale : les uns pour traverser notre pays, souvent vers la Grande-Bretagne (voir la concentration dans la région de Calais), les autres avec l'intention de s'installer en France en disposant, ou pas, de relations dans notre pays. Cette migration se déroule actuellement via la Turquie vers la Grèce ou via la Libye vers l'Italie. Ces personnes sont pour la plupart non-francophones contrairement à des périodes antérieures. L'entrée de ces migrants clandestins est retardée par les dispositifs (douanes, police, gendarmerie) en place, mais nos frontières restent trop perméables. Une fois entrés sur le territoire, ces clandestins posent problème : campements sauvages ou hébergements difficiles, problèmes sociaux, question de santé, délinquance éventuelle, etc.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que la France n'a pas vocation à accueillir une très grande population étrangère compte tenu de sa situation actuelle, caractérisée déjà par la présence de populations d’origine étrangère, mal ou peu intégrées. Plus particulièrement, la France ne doit plus et ne peut plus accepter des personnes trop éloignées de sa civilisation, de sa langue et de ses valeurs.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que l'accueil et la prise en charge matérielle de ces migrants, sont assurés par des acteurs, le plus souvent associatifs, financés par l'État. La plupart de ces associations militent en faveur de l’installation en France de ces étrangers, apportent un appui significatif à l’immigration illégale et luttent contre tout contrôle pour éviter les expulsions. Elles ne respectent pas pleinement la légalité. Elles n’ont plus de légitimité à recevoir des subventions de l’État et des collectivités territoriales.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que le contrôle aux frontières doit être rétabli sérieusement pour être le plus efficace possible. D'une manière générale, le contrôle aux frontières a vocation à combattre tous les trafics criminels : armes, drogues, traite humaine (enfants et prostitution), organes, produits de contrefaçon, terroristes islamistes, migrants économiques, etc. Ce contrôle comprend des actions en amont et en aval des frontières et un travail de renseignement considérable. Il cible les actions à mener à l’encontre des «passeurs».


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) reste favorable au droit d’asile dans la mesure où les demandes sont fondées. Les demandes doivent être examinées de manière très rapide avec une grille de lecture transparente. Une liste des pays ne posant pas de problème doit être établie avec précision (notion de «pays sûrs»). Les ressortissants de ces pays doivent retourner dans leur pays d’origine, c’est-à-dire être expulsés rapidement (par exemple, dans le cas des Albanais). Les dossiers de personnes en provenance de pays où se développe une répression politique, ethnique ou religieuse, comme la Turquie actuelle (qui persécute les responsables de l’opposition et des responsables kurdes), doivent être examinés. Une prudence doit prévaloir à l'égard de ceux qui brouillent leur identité : absence de papiers, déclarations non étayées par des documents officiels, revendication du caractère de mineur, etc. Les personnes, dont la demande d'asile a été refusée, doivent être expulsées de manière effective et systématique, ce qui n’est pas aujourd’hui le cas, à de rares exceptions près.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que, dans un monde où la circulation des informations par Internet est généralisée et immédiate, le message à faire passer aux migrants clandestins, comme aux passeurs de ces migrants, est que la France n'est pas une bonne destination pour eux. Il faut réinstaurer l’utilisation des charters pour les expulsions afin de marquer à nouveau les esprits sur les lieux de départ des futurs migrants.



EN FRANCE, PAS DE PLACE POUR LES ISLAMISTES DE DAECH


Communication du MIL du 23 janvier 2018


Référence : Des avocats des familles de femmes et d'enfants de membres de nationalité «française» du «groupe État islamique», récemment capturés par les Forces démocratiques syriennes (FDS), viennent de déposer une plainte contre les autorités françaises pour «détention arbitraire» et «abus d'autorité» et demandent leur rapatriement en France. Cette démarche judiciaire semble ignorer l’aspiration légitime des autorités locales de ces pays à juger les mercenaires étrangers de Daesh. La réponse de l’exécutif sur ce sujet inquiète, car Macron a évoqué un traitement «au cas par cas», ce qui fait craindre un certain laxisme.


En Irak et en Syrie, une quarantaine de jihadistes français (hommes et femmes), accompagnés d'une vingtaine d'enfants, auraient été récemment arrêtés par les Forces démocratiques syriennes (FDS) qui ont combattu le groupe Etat islamique. La nationalité de ces insurgés islamistes, dont le point commun est d’être francophones, reste à déterminer : il peut s’agir de Français, de Belges, d’étrangers ayant résidé en France ou en Belgique ou dans un pays francophone (Afrique, Asie), de titulaires d’une double nationalité (par exemple franco-marocaine). La nationalité des conjoints (parfois plusieurs par personne) et de leurs enfants ne va pas naturellement de soi.


Environ 2.000 «Français» ont rejoint les territoires gérés par l’État islamique principalement en Syrie (le «califat») pour s’y installer et combattre, après avoir été autorisés à y parvenir par la Turquie.


-Plusieurs centaines de ces islamistes ont été tués durant les combats ; le chiffre minimal serait de 300 morts.


-D’autres se sont repliés aujourd’hui et comptent poursuivre leur guerre au Moyen-Orient, en Afghanistan ou ailleurs.


-Certains islamistes ont été identifiés à leur retour sur le territoire national (302 à fin octobre 2017 dont 178 hommes, 66 femmes et 58 mineurs âgés de moins de 12 ans), d’autres sont en chemin. Une part seulement d’entre eux ont été arrêtés pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste» (134 sur 302). Les autres ont été laissés en liberté ; cette «clémence» gouvernementale est scandaleuse.


-Certains islamistes de retour en France n’ont pas encore été identifiés. Leur dangerosité va du profil d’«islamistes convaincus, souhaitant poursuivre le combat» jusqu’à «repentis» réels ou simulés, en passant par toutes les positions intermédiaires et souvent changeantes en fonction du temps.


509 détenus sont aujourd’hui incarcérés pour faits de terrorisme islamiste, selon les chiffres de l’administration pénitentiaire (AP), parfois depuis des décennies, d’autres depuis leur récent retour du Moyen-Orient. Il faut y ajouter 1.157 détenus qui font également l'objet d'un «suivi au titre de la radicalisation» par les agents du «Bureau central du renseignement pénitentiaire» qui sont une des composantes des services de renseignement français. La présence de ces 1.666 détenus est à l’origine de graves problèmes au sein des maisons d'arrêt, ou centres de détention (les récentes agressions de personnels pénitentiaires). La gestion de ces détenus particuliers demande des réponses nouvelles. Enfin, les combattants islamistes de retour de la guerre étant condamnés en moyenne à une peine de six ans de prison, la question du devenir de ces extrémistes islamiques à l’issue de leur peine se posera rapidement.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que les combattants du groupe Etat Islamique capturés par les forces locales syriennes ou irakiennes, au terme des combats pour la reconquête du territoire, doivent être jugés sur place, par les autorités locales, qui seules peuvent estimer leurs crimes et exactions durant la guerre civile à laquelle ils ont participé. Leur engagement contre la France et les alliés apparait ici comme un problème à aborder, en France, à l’issue des condamnations locales qui auront été prononcées.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que, même si le «groupe État islamique» a perdu les villes qu’il contrôlait, il poursuit une guérilla et des actions terroristes dans tout le Moyen-Orient. Par ailleurs, d’autres groupes islamistes récupèrent des membres du groupe État islamique, dont des «francophones», comme le «Front Fatah al-Cham» (ex «Al-Qaïda au Levant»). Une véritable «internationale islamiste», composée de groupes islamistes, poursuit des combats dans divers pays : Afghanistan, Indonésie, Nigéria, Pakistan, Philippines, Sahel (ou la France intervient), Sinaï, Somalie, Yémen, etc. Des États les soutiennent. Le combat se poursuit.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) appelle l’État à tout mettre en œuvre pour freiner et empêcher les retours, poursuivre les islamistes identifiés dès leur retour, pour permettre leurs condamnations en fonction des faits reprochés, et assurer une surveillance effective des fichés «S». Empêcher toute propagande en faveur de la radicalisation islamique dans la population et, surtout, prévenir de nouveaux attentats apparait comme une priorité majeure pour les Français.




LA FRACTURE SOCIALE EST TOUJOURS LÀ


Communication du MIL du 19 janvier 2018


La «fracture sociale», développée par Jacques Chirac et conceptualisée par Philippe Seguin durant la campagne électorale de 1995, n'a pas cessé de se développer au cours de ces dernières décennies, en particulier depuis la grave crise économique de 2008. La population ayant un emploi a diminué sur ces dix dernières années, tandis que la population active a augmenté du fait d’une démographie positive et de la modification de l'âge de départ à la retraite et du nombre de trimestre nécessaire. Un français sur dix est aujourd’hui inscrit à Pôle emploi (6.600.000 inscrits du 67 millions d’habitants) et c’est, sans compter tous ceux qui pourraient être inscrits, mais qui ne le demandent pas faute de bénéficier d'indemnisation-chômage. Sont notamment ainsi non-inscrits à Pôle emploi de nombreux jeunes (à l’issue de leurs études) et une part importante des allocataires du Revenu de Solidarité Active (RSA). La proportion des Français, sans aucune ressource, en situation précaire (contrats courts successifs ou temps partiel à horaire réduit) ou disposant de ressources inférieures au seuil de pauvreté, est inacceptable. 


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) dénonce l'orientation présidentielle qui joue pour «ceux qui réussissent» par rapport à «ceux qui ne sont rien». Les propos du Président tenus au cours des mois passés montrent un certain désintérêt, voire du mépris, à l’égard de certaines catégories populaires.


Il vise explicitement une population privilégiée de hauts-cadres ou startuppers à vocation internationale, profitant largement de la mondialisation, mais également tous ceux qui aspirent à entrer dans cette catégorie, même si la plupart n’y appartiendront jamais ! Force est de constater que la grande majorité des Français ne bénéficient pas de ce type de situation.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL), en tant que mouvement gaulliste, appartient à la tradition d’une droite républicaine qui milite pour la justice sociale.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que la principale priorité pour sortir de la situation présente réside dans la recherche du plein emploi. Aujourd’hui, Macron ne vise pas le plein emploi à la fin de son quinquennat, mais, au mieux, une légère baisse du taux de chômage. Il a accepté de renoncer au combat du plein emploi et d’abandonner une partie de la population considérée comme «inutilisable» dans la société qu’il veut créer. L’État devrait encourager certaines initiatives économiques par une politique volontariste, encore faut-il qu’elles profitent à la France (c’est-à-dire en premier lieu aux secteurs de production : agriculture, construction, industrie et numérique et de recherche) et, parallèlement, il ne doit pas oublier tous les autres citoyens.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) reproche à Macron de proposer des équations qui n'ont pas de solutions. Macron n’est pas dans le vrai. Après des lois permettant une communication consensuelle (moralisation politique), il a fait adopter les ordonnances sur le travail qui ne devraient créer, au final, aucun emploi significatif. Il est en train d'abandonner les promesses d'indemnisation chômage fait aux indépendants et aux salariés démissionnaires. Sa réforme du mode d'entrée à l'université va mener, en 2018, à des tensions fortes au niveau de la jeunesse et des familles, sans régler les problèmes sur le fond.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que les victimes de la politique actuelle seront les plus démunies, les jeunes à l’entrée dans la vie active, les retraités (augmentation de leur CSG), mais aussi les Français des classes moyennes, dont les impôts et taxes s’accroissent et vont encore s’accroitre. 


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que les clés à la situation actuelle résident dans la priorité absolue à accorder à la création de nouveaux emplois, combinée à la baisse des prélèvements obligatoires (profitant aux personnes qui paye des impôts). Ainsi, une part importante des «sans-emploi» sortiraient de la précarité et trouveraient un projet d’avenir et les classes moyennes verraient leurs revenus augmenter au travers de la baisse de la pression fiscale. Une politique de solidarité efficace pourrait être assurée au profit des personnes en transition professionnelle et des personnes trop éloignées de l’emploi (personnes âgées, malades ou handicapées). Les salariés doivent bénéficier d’un intéressement, de systèmes de participation et d’un accès à l’épargne salariale.


Si la droite républicaine veut reprendre le pouvoir politique, il faut qu’elle s’engage totalement sur le terrain du pouvoir réel sans oublier qu’il faut enfin s’attaquer réellement à la fracture sociale entre Français, sans lâcheté, ni perte de mémoire. La reconquête ne peut que passer par le peuple de droite et par les gaullistes.


L’AUTORITÉ DE L’ÉTAT EN CHUTE LIBRE


Communication du MIL du 15 janvier 2018


Référence : Des militants d’ultra gauche (écolo-radicaux, anarchistes, etc.) occupent, depuis 2009, le site du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Ainsi 1.600 hectares échappent à l’autorité de l’État. Un débat agite l’exécutif pour savoir s’il convient de passer par une négociation (abandonnant le territoire à ses occupants) ou par une expulsion faisant intervenir les forces de gendarmerie.


Dans de trop nombreux cas et depuis de nombreuses années, l’autorité de l’État n’est plus respectée en France. L’exécutif n’assure plus pleinement sa fonction qui est de faire régner l’ordre. Le laisser-aller et la «bienveillance» à l’égard des délinquants, des islamistes, des militants de l’ultra gauche, etc. sont devenus beaucoup trop fréquents. À force de ne pas réagir aux atteintes à l’ordre républicain, des situations se sont installées et la résolution des problèmes posés devient plus ardue. Il existe de nombreux exemples de cet abandon de l’exercice de l’autorité de l’État : Occupation de territoires pour s’opposer à des projets d’intérêt public comme à Notre-Dame-des-Landes ; abandon de nombreux quartiers populaires à des bandes ou des gangs : les services publics, comme les commerces, ne peuvent plus demeurer ; permanence de campements de migrants (à Calais, à Paris, etc.) sont évacués et reconstitués régulièrement, avec le soutien matériel et organisationnel d’associations d’aide aux migrants ; acceptation de prières de rue par des musulmans, comme pendant un an à Clichy La Garenne ; «débordements» de manifestations syndicales par des militants d’ultra gauche armés et offensifs, qui commettent à la fois des actes de vandalisme et des agressions physiques contre policiers et gendarmes, comme à Nantes, à Paris ou à Rennes ; agressions individuelles contre des membres des forces de l’ordre en service, ou hors service, par des délinquants (voir la succession des agressions récentes) ; insuffisance de l’interdiction des activités islamistes radicales dans des mosquées, dans des associations pseudo-cultuelles, vis-à-vis de cafés réservés aux hommes, etc.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) souhaite le rétablissement de l’autorité de l’Etat sur tout le territoire français. Pour cela, d’une part, il importe de réagir immédiatement à tout nouveau signe de mise en cause des lois de la République pour émettre un signal du changement des règles du jeu. D’autre part, il faut s’attaquer à tous les points de fixation existants avec détermination. Il faut afficher cette détermination et l’exercer intelligemment, tranquillement, sereinement, mais avec fermeté.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que les auteurs de ces actes illégaux, et en particulier de violences, délinquants, islamistes, militants d’ultragauche et membres d’autres groupes et communautés, doivent faire l’objet de poursuites. Les arrestations, jugements et condamnations de ces personnes, dans le cadre des lois existantes, doivent être la règle.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que ces casseurs, occupants, complices et délinquants reçoivent le soutien d’une part des journalistes, de personnalités et de responsables de partis politiques de gauche et d’extrême gauche. Plusieurs arguments sont mis en avant par les partisans d’une société «bienveillante» : d’une part, les actions illégales sont présentées comme des «faits de société» à observer et analyser, car, nous dit-on, la faute en revient à la société tout entière : au chômage, à la colonisation, au racisme, etc. (cette thèse a déjà été développée par Macron). D’autre part, le risque que le rétablissement de l’ordre fasse des blessés voire des morts l’emporte sur l’exercice du droit. Ces arguments appartiennent à une argumentation de subversion visant l’affaiblissement de l’Etat.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que l’intérêt général, celui de tous les Français, est que l’ordre républicain règne, que la sécurité soit assurée, que la libre circulation soit possible partout pour les femmes et les hommes dans notre pays, que la liberté de s’exprimer et de manifester existe, que la prévention de la radicalisation et des projets d’actions terroristes islamistes soit effective.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) appelle l’Etat à rétablir la confiance des citoyens en assurant l’autorité de la République avec détermination.



  

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