MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

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VI­GILANCE & AC­TION - N° 402  FéVRIER 2020    

 

LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


MUNICIPALES 2020 : BATTRE LA GAUCHE SOUS TOUTES SES FORMES


Communication du MIL du 17 février 2020

 

Rappel : Le scrutin municipal est important. La commune est la seule collectivité à avoir conservé la «clause de générale de compétences» (Loi NOTRe du 7 aout 2015). Cette disposition permet à un maire de disposer d’une réelle liberté d’action. La conséquence, c’est qu’il est essentiel que tous les citoyens doivent remplir leur devoir électoral aux deux tours de scrutin.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) appelle ses militants et sympathisants à soutenir, voter et faire voter pour la liste de droite, susceptible de l'emporter aux élections municipales, dans chaque commune, tout en tenant compte de toutes les particularités locales propre à ce scrutin. Cet appui doit profiter à la fois aux maires de droite sortants, et aux nouveaux candidats partis à la conquête de villes de gauche.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) appelle à faire campagne contre les candidats de gauche qu’ils appartiennent à la gauche sociale-démocrate de Macron (LREM et alliés), aux écolos marxistes d'EELV, aux socialistes, aux communistes, aux insoumis et aux listes communautaristes.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se félicite du rejet de la «circulaire Castaner» obtenu suite à un référé des Républicains. Le gouvernement visait à brouiller les résultats des élections municipales par un tripatouillage politique de l'étiquetage partisan des élus. Le but était de présenter une catégorie «majorité présidentielle» englobant un peu toutes les listes ! Il s’agit d’une petite bidouille…


LREM apparait dans une situation difficile à l'approche de ce scrutin. D’une part, le parti n’a pas mené, depuis trois ans, un travail politique sérieux. Très peu des 300 députés En marche se présentent aux municipales et c’est parfois avec des dissidences. D’autre part, les candidats LREM se trouvent évidemment touchés par la tension sociale multiforme actuelle contre les projets du gouvernement. Enfin, la politique menée par Macron à l’égard des collectivités locales en général, et des communes en particulier, appelle à un rejet de la part des élus locaux.


L’ambition de LREM était de faire élire des conseillers municipaux pour tenter d'obtenir des sénateurs lors du prochain renouvellement du Sénat. L’objectif initial LREM de 15.000 conseillers municipaux est passé à 10.000, puis aujourd’hui à moins ! Les candidats à la fonction de maire avec l’étiquette LREM sont relativement peu nombreux et le parti LREM semble ne devoir conquérir aucune métropole ! 


Macron a affirmé publiquement son absence d’intérêt politique du scrutin municipal ! Il communiquera par tous moyens pour que les résultats des municipales n’apparaissent pas comme sanction de sa politique. L’enjeu sera pour nous de communiquer, de manière objective, sur les résultats des candidats investis par LREM.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère qu'au-delà des enjeux locaux, il conviendra d'examiner avec précision les tendances qui verront le jour au niveau des partis de la gauche de la gauche. D’une part, il faudra noter, si les écologistes anticapitalistes (EELV) peuvent prendre la tête au sein de la gauche au premier tour, pour absorber le PS, LFI et PCF au second, ou bien s'ils se contenteront de quelques succès ponctuels dans 4 ou 5 villes, comme ce fut le cas aux dernières élections à Grenoble.


D’autre part, la réélection des maires sortants socialistes et la survie des derniers maires «dinosaures communistes» devront être observées, car elle conditionne la suite, sur les territoires, pour les élections départementales et régionales de 2021, puis pour les scrutins nationaux de 2022.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) lance deux campagnes militantes sur les thèmes : «Municipales 2020, battre toutes les gauches» et «Municipales 2020, droite ou gauche, il faut choisir».




L’ISLAM POLITIQUE N'A PAS SA PLACE EN FRANCE


Communication du MIL du 20 février 2020

 

Repère : Macron vient de déclarer que «L'islam traverse une crise avec une radicalisation de certains et des mouvements très durs qui veulent aller vers l'islam politique. Je dis juste que, chez nous, l'islam politique n'a pas de place». Macron a déclaré s’engager contre le «séparatisme islamiste».


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se félicite de voir son diagnostic sur l’islamisme politique partagé par le président de la République (même si les termes employés ne sont pas tout à fait les mêmes). Trois ans auront été nécessaires pour en arriver à sa déclaration, ce qui ne peut que surprendre. Elle aurait pu, et dû, être faites dès 2017, car rien n’a changé depuis lors, hors une montée en puissance de la nébuleuse islamiste en France.


Le problème est que, comme sur le sujet de l’immigration, quand Macron fait des déclarations de bon sens, elles ne sont pas suivies d’une politique en rapport avec la réalité évoquée. Il se trouve contraint à reconnaitre les faits très tardivement, mais les mesures qui doivent en découler ne sont pas prises. Par exemple, la très modérée loi «Asile et immigration» (du 10 septembre 2018) n’a pas donné lieu à l’expulsion massive des déboutés du droit d’asile. On se trouve face à un marché de dupes.


Dans le cas présent, Macron vient d’annoncer des mesures destinées à lutter contre ce qu’il reconnait comme des ingérences étrangères (détachement d’imans ou de professeurs de langues étrangères Algériens, Marocains, Turcs et Tunisiens, financements massifs de mosquées par le Qatar et autres émirats, etc.). Les mesures annoncées vont dans le bon sens, mais avec un calendrier, des modalités et des nuances qui interrogent sur la volonté de les mener à bien.


Elles ne suffisent pas à répondre à l’urgence de la situation et à l’ampleur des problèmes. Le rapport interministériel, qui a fuité dans la presse ces dernières semaines, propose un diagnostic assez intéressant (même s’il devrait être complété) et une panoplie de propositions qu’il serait déjà souhaitable au minimum d’appliquer. Mais ces mesures ne semblent pas devoir être mis en œuvre par le gouvernement, vu l’absence de réaction de Macron. Les questions de la laïcité, de la représentation de l'islam en France ou, tout simplement, du port du voile restent en suspens. Les risques actuels de l’islamisme politique font l’objet d’une reconnaissance de la part des républicains de droite comme de gauche parce qu’ils apparaissent comme anti-républicains. L’absence de réponse politique de la part du gouvernement apparait scandaleuse.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) rappelle que l'islamisme est une idéologie politique (à ne pas confondre avec le simple exercice de la religion musulmane). Les islamistes politiques rejettent la république française au profit de valeurs religieuses, sexuelles ou culturelles. Ils visent à changer les lois de la république et, faute d’y parvenir, ils expriment leur volonté de se séparer des autres sur le plan concret des associations, des écoles islamiques, des lieux de vie propres, des territoires gérés par eux. Les groupes islamistes sont des minorités actives, noyés dans la population française et étrangère, de confession musulmane, voire simplement de culture musulmane. Des associations islamistes s’attachent à occuper les champs social, culturel, éducatif, économique. Ils ont la volonté de participer à la vie politique et de présenter des listes lors des élections ou en infiltrer avec la complicité d’élus locaux qui pratiquent le clientélisme. Les municipales leur en donnent l’occasion ! La concentration de la population de confession musulmane sur des territoires (93, quartiers, etc.) offre une opportunité aux islamistes déclarés ou moins identifiés.


 

LES RETRAITES ET MACRON, UN ENJEU POUR 2022


Communication du MIL du 16 janvier 2020

 

Macron s’enfonce progressivement dans l’impasse du dossier de la réforme des retraites qui lui échappe. Cela s’explique pour plusieurs raisons. D’une part, le projet de réforme n’a jamais été finalisé malgré deux ans de travail. D’autre part, le projet de «système universel» initial a été cassé par Philippe qui a annoncé la création de régimes spécifiques et de diverses mesures d’exception, qui viennent remplacer les «régimes spéciaux» ! Enfin, le gouvernement a abandonné le principe d’une réforme à budget égal des pensions en promettant des engagements de dépenses plus importantes. Le système des équations, auquel le gouvernement a abouti, ne peut pas être résolu pour gérer plus de 320 milliards d’euros (soit 14% du PIB).


Le paradoxe est que, parallèlement à la recherche d’un équilibre financier du régime des retraites, Philippe a annoncé de nouvelles dépenses (comme l’augmentation des salaires des enseignants, sans aucune contrepartie éducative) qui interviennent avant l’application de la réforme. La mobilisation du financement est une condition indispensable pour mettre en place une organisation, comme dans tout projet de loi. Depuis le début, nous avons eu l’occasion d’insister sur la nécessaire condition de l’équilibre du régime.


Le gouvernement inverse aujourd’hui l’ordre naturel des choses : il présente un projet de loi fin janvier qui va être examiné dès février alors que le mode de financement sera examiné en avril ou mai ! Dès à présent, il semble évident que la conférence sur le financement, accordée à la CFDT, ne pourra pas déboucher. Le Premier ministre a précisé, par écrit, un cadrage trop étroit. L’âge d’équilibre ou âge pivot sera réintroduit en avril/mai par ordonnance avec un enrobage à découvrir.

Rien de tout cela n’est à même de rassurer l’opinion, que ce soit celle des jeunes (pleinement concernés par la réforme) comme des moins jeunes (qui pensent éviter d’être touchés par la réforme), sans compter tous ceux dont le sort reste incertain en fonction de leur date de naissance dans la mesure où les paliers bougent chaque semaine ! L’inquiétude des citoyens persiste devant un projet flou (quelle sera la valeur du point ?). Les partis de droite et la gauche s’opposent à ce projet de loi du gouvernement pour des raisons diverses. Le rapport de force syndical est volontairement brouillé pas les médias. Mais la réalité est que l’intersyndicale est largement majoritaire dans le secteur privé (CGE-CGC, CGT, FO) comme dans le public (CGE-CGC, CGT, FO, FSU et Solidaires). Même si la CFDT revendique sa place de première organisation syndicale, elle et ses alliés de circonstance (UNSA et CFTC) sont bien largement minoritaires. De plus, ces organisations sont lâchées par une part de leurs fédérations professionnelles. Enfin, l’accumulation des mouvements parallèles, comme celui des professions libérales (médecins, avocats, etc.), commence à peser.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL), constate que ce sujet a donc vocation à devenir l’un des enjeux majeurs des échéances électorales de 2022. Cette loi ne sera, au total, qu’une étape provisoire. Macron semble décidé à continuer sur son projet. Il a trop attendu pour rebattre les cartes. Il peut, a priori, faire adopter mécaniquement par sa majorité à l’Assemblée une loi de réforme des retraites et/ou des ordonnances, comme Philippe vient de l’évoquer. Compte tenu du calendrier d’application des mesures, dans tous les cas, la réforme restera en suspens jusqu’en 2022.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que l’accumulation des conflits successifs (gilets jaunes, mouvements syndicaux, catégoriels dans les hôpitaux) conduit à la montée d’une tension sociale dangereuse pour le pays. La contestation populaire, que Macron et En Marche refusent de prendre en compte, risque de s’exprimer dans les mois qui viennent de manière multiforme, voire radicale.


ANDRÉ DECOCQ EST DÉCÉDÉ


Communication du MIL du 20 janvier 2020

 

Nous apprenons qu’André Decocq est décédé le 29 décembre 2019 à l’âge de 87 ans et qu’il a été enterré dans la plus stricte intimité familiale et sans faire-part dans la presse.


André Decocq a été président du Mouvement Initiative et Liberté du 26 novembre 1985 jusqu’au 13 septembre 1994 tout en étant professeur de droit à la faculté de Droit de Paris.


Il avait accepté, avec beaucoup de courage, de présider le Mouvement Initiative et Liberté à la demande de Jacques Foccart afin de permettre à Pierre-François Debizet de réapparaitre dans la vie politique quelques mois après la réactivation de l’association. Il l’avait connu à Lyon dans l’action civique militante. Afin de bien positionner notre association, Jacques Foccart s’était appuyé sur le général Alain de Boissieu, gendre du général Charles de Gaulle, sur l’amiral Philippe de Gaulle et sur un comité d’honneur. Un encart publicitaire d’annonce de la réactivation du Mouvement Initiative et Liberté fut publié dans la presse nationale et locale début février 1986.


Pierre-François Debizet a été nommé le 16 juin 1986 délégué général chargé de l’organisation, de la structuration et de l’animation de l’association Mouvement Initiative et Liberté. Il démissionnera le 5 novembre 1987 pour raison personnelle.


André Decocq a toujours été un militant gaulliste et civique, connu pour ses positions. Il contribua au développement de notre association dans l’opposition. Il a marqué les esprits par ses écrits et ses prises de paroles. Nous ne citerons que quelques textes que vous pouvez consulter à partir de nos journaux sur notre site internet :


«Pour l’Europe des libertés et des patries» - V&A N°27 -juin 1989,

«Menaces sur l’identité nationale» - V&A N°32 - novembre 1989,

«Notre première convention nationale sur le thème : MIL, au carrefour des droites» - V&A N°41 - décembre 1990,

«Boudarel, criminel contre l’humanité ?» - V&A N°43 - avril 1991,

«De la défaite du socialisme à la victoire de la droite» -V&A N°52 - janvier 1992,

«Au-dessus des lois, contre Maastricht» - V&A N°58 - juillet 1992,

«Quatrième convention nationale du MIL : La France veut être gouvernée à droite» - V&A N72 - février 1994,

«Après les élections européennes, les leçons du 12 juin» - V&A N°76 - juillet 1994.


Été 1994, ses engagements professionnels dans le domaine juridique (dont la rédaction de l’ordonnance «relative à la liberté des prix et de la concurrence» voulu par Edouard Balladur) lui ont valu un surcroît d’activités qui ne lui laissait plus assez de disponibilités pour notre association.


Sa tentative de rapprocher notre association de l’action du premier ministre, Edouard Balladur, s’est heurté à la volonté et à l’engagement de Jacques Foccart, du général Alain de Boissieu et de l’amiral Philippe de Gaulle à soutenir Jacques Chirac comme candidat à l’élection présidentielle de 1995. Tout cela fera qu’il ne pouvait plus rester comme président de notre association.


C’est pourquoi le 13 septembre 1994, Raoul Béteille, conseiller honoraire à la cour de cassation, député de la Seine-Saint-Denis et ancien directeur des affaires criminelles et des grâces, membre du bureau national du Mouvement Initiative et Liberté fut élu président.


LA POLITIQUE DE MACRON, CRÉATRICE DE TENSIONS ET DE VIOLENCES SOCIALES


Communication du MIL du 14 février 2020

 

La France se trouve, aujourd’hui, dans une situation de tension sociale exceptionnelle causée par une politique marquée par un déni des réalités, une l'absence de réel dialogue avec les corps intermédiaires et les élus et un mépris constant pour le peuple français, professé par une équipe constituée de diverses nuances de technocrates. Face aux mouvements de contestation, le gouvernement a usé d’une communication contre la grève en assurant la promotion d’un bouc émissaire : la CGT et Martinez. Par rapport à la gêne occasionnée par la grève et les pertes de vente de certains commerçants, le gouvernement a renvoyé la faute sur les grévistes. Ils ont agité la CGT comme un épouvantail vis-à-vis d’un électorat de droite qu’ils veulent continuer à conquérir.


Mais la réalité sociale est bien différente. La contestation ne se limite pas à quelques organisations syndicales marxistes (CGT, FSU, Solidaires, etc.), mises en avant par LREM et des journalistes. D’ailleurs, la grève des transports a été menée par l’Unsa et la CFDT, syndicats qui théoriquement soutiennent le gouvernement !


La tension sociale réunit tous les travailleurs du public et du privé, des salariés comme des indépendants, qui se sont victimes, à divers titres, de la politique de Macron. Citons par exemple :


-Les cadres et leurs organisations représentatives (CFE CGC, CFDT, etc.) s’opposent à la réforme des retraites, à la dégressivité de leurs indemnisations chômages déjà mis en place, à la mise sous condition de ressource de toutes les mesures, dont les prestations familiales. L’habitude de la CGC n'est pas de faire front commun avec l’UGICT-CGT ! Cette convergence illustre la gravité de la situation.


-Les membres des professions libérales se mobilisent depuis des mois autour du collectif «SOS retraites». Par exemple, les actions massives des avocats font la «une» des médias.


-Les professionnels de santé (médecins, infirmières, aides-soignants, etc.) poursuivent leurs actions : les libéraux comme les hospitaliers. La grève dans la plupart des hôpitaux met en cause la capacité des soins (avec une diminution du nombre des lits disponibles). Les actions se multiplient tout en évoluant face aux réponses réduites du gouvernement.


-Les fonctionnaires d’État sont aussi mobilisées contre la politique menée par Macron qu'il s'agisse du cœur des fonctions régaliennes (police, pompiers, armées, etc.) ou des enseignants, chacun selon leurs possibilités.


-Les salariés du privé n’ont pas encore compris qu’en passant au calcul de leur retraite sur leur carrière complète, ils allaient voir baisser leur retraite d’une manière significative. Déjà, sous Balladur, ils avaient vu le calcul de leur retraite passer des 10 meilleures années aux 25 meilleures années.


-Comme beaucoup d’autres.


Philippe et Macron se moquent des députés et des sénateurs en proposant une loi «retraite» comportant 26 ordonnances et en menaçant de recourir à l’article 49.3. Ils déplacent leur activité politique vers le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), pour des sujets comme le «climat» ou les «retraites», plutôt que d’en débattre avec les élus nationaux, ce qui est scandaleux et antirépublicain.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que le mécontentement des français ne se limite pas à la réforme des retraites. Il est assez général. Cette réforme apparait comme un catalyseur de mécontentement, comme l'a été la surtaxe sur les carburants en 2018 pour l’émergence des «gilets jaunes». La politique de gauche sociale-démocrate de Macron ne répond pas aux attentes des Français. Le positionnement de Macron est mondialiste, fédéraliste européen, multiculturaliste, libéral-libertaire sur le plan sociétal (PMA sans père) et anti-français (en faveur de la reconnaissance d’un «crime contre l’humanité» perpétuée par la France en Algérie), etc. Il fait désormais l'objet d'un rejet des classes populaires, des classes moyennes, mais aussi des jeunes. Les soutiens dont il disposait fondent progressivement. Les derniers se posent aujourd’hui des questions devant ses échecs successifs en politique intérieure et extérieure. Sa communication politique, même adroite, ne suffira plus !


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que la tension sociale est très forte en France. Elle se traduit par une multiplication de violences urbaines inacceptables contre les biens et les personnes. Les auteurs de ces violences, militants d’ultra-gauche, radicaux de tous poils, casseurs et délinquants, sont pleinement responsables de leurs actes. Mais la montée de la tension sociale due aux silences ou aux mesures du gouvernement alimente leurs violences. Les crises sociales actuelles cumulées sont devenues inquiétantes pour la France.




  


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