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VI­GILANCE & AC­TION - N° 410 AOUT-SEPTEMBRE 2020   



LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


LE COMMUNAUTARISTE ISLAMISTE RADICAL N’EST PAS UN SIMPLE SÉPARATISME


Communication du MIL du 22 juillet 2020


Après un silence de trois ans et une absence de toute mesure concernant le respect de la laïcité et la lutte contre le développement de l’islamisme intégriste en France, Macron a prononcé un discours significatif le 18 février 2020 en Alsace qui est resté sans suite.


Dans son discours de politique générale, Castex vient de revenir sur ce sujet en annonçant, pour septembre, le dépôt d’un projet de loi sur «la lutte contre les séparatismes» visant à «éviter que certains groupes ne se referment autour d'appartenances ethniques ou religieuses».


Il reprend le terme de «séparatisme» introduit par Macron. C’est un «élément de langage» présidentiel qui a été illustré par la déclaration de Macron : «Le «séparatisme» islamiste est incompatible avec la liberté et l’égalité, incompatible avec l’indivisibilité de la République et la nécessaire unité de la nation».


Castex a précisé quels sont ses ennemis : «La France, c'est la République. Et celle-ci aussi se trouve aujourd'hui ébranlée dans ses fondements par la coalition de ses ennemis : terroristes, complotistes, séparatistes, communautaristes (…)». «(…) il faut nommer les choses telles qu'elles sont : lutter contre l'islamisme radical sous toutes ses formes est et demeure l'une de nos préoccupations majeures».


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se félicite de voir repris le thème de «la lutte contre l’islamisme radical» par la gauche social-démocrate. Mais nous nous inquiétons de la manière dont la question va être traitée. La dialectique sur le vocabulaire employé, «séparatisme» au lieu de «communautarisme», traduit une intention de limiter l’approche à certains aspects. Et surtout le choix de Castex de mettre au pluriel le terme de « séparatismes » conduit à s’interroger sur qui il désigne et désignera au final.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) exprime, par conséquent, sa forte crainte de voir Castex décliner une interprétation laïque radicale à l’égard de toutes les religions (catholique, protestante, juive, etc.). Le texte du projet de loi du gouvernement devra donc être examiné avec une grande prudence et, le cas échéant, des actions engagées, pour éviter d’éventuels effets pervers. Les déclarations et les amitiés de Castex alimentent cette crainte : «Aucune religion, aucun courant de pensée, aucun groupe constitué ne peut s'approprier l'espace public et s'en prendre aux lois de la République».


Le projet de loi doit impérativement désigner clairement son sujet : l’islam radical politique, contraire, aux valeurs de la République et ses acteurs : groupes et organisations islamistes en France, Etats musulmans, associations qualifiées d’ONG… Si l’on se rapporte aux propos de Macron, il pourrait porter sur les points suivants : fin des influences étrangères de l’Algérie, du Maroc et de la Turquie, «organisation» du culte musulman en France (fantasme de la gauche), lutte contre toutes les manifestations du «séparatisme» islamistes (dont les atteintes au droit des femmes, le retrait de la société, etc.), retour effectif de la présence des représentants de la République dans les quartiers à majorité musulmane.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que cette loi devrait être forte et porter un coup d’arrêt définitif à l’islam politique en France. La question est de savoir si toutes les questions à traiter figureront dans ce texte de loi, ou s’il va s’agir, comme sur nombre de dossiers, d’un nuage de fumée accompagnée d’une communication politique électoraliste. Par exemple, le clientélisme, de certains élus locaux, jouant en faveur du financement direct ou indirect d’associations islamistes radicales sera-t-il clairement remis en cause et sanctionné ?


Enfin, le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que la prise en compte de l’immigration légale et illégale ne peut être écartée de cette loi. Le flux migratoire actuel vers la France comporte une composante islamiste intégriste. Des «migrants» viennent renforcer les noyaux islamistes dans notre pays tout comme la politique de naturalisation ouverte actuelle, alors qu’il n’y a pas une réelle prise en compte de l’adhésion des intéressés aux valeurs de la République Française.


L’EMPRUNT COMMUN EUROPÉEN, DES RISQUES POUR LA FRANCE


Communication du MIL du 29 juillet 2020


Repère : Les dirigeants de l’Union européenne ont conclu un accord sur un plan de relance massif de l’économie des pays de l’Union fin juillet 2020. Cet accord débouche sur l’émission, par la Commission européenne, de 750 milliards d’euros de dette commune au nom des Etats de l’UE. Cette somme doit être répartie en 390 milliards de subventions et 360 de prêts aux Etats, sur une période de 3 ans.


Le fait d’emprunter en commun de l’argent constitue une nouveauté pour les pays de l’Union. Mais il s’agit d’une initiative ponctuelle et non d’un mécanisme pérenne. Cette mesure a un «caractère exceptionnel» et «le pouvoir d’emprunter, confié à la Commission, est clairement limité en termes de volume, de durée et de portée».


La gouvernance de l’Union européenne (UE) n’est pas modifiée par ce projet. Au travers du Conseil européen, l’UE demeure une union d’Etats, disposant de 27 majorités politiques différentes.

Le rôle de la Commission européenne sort néanmoins renforcé, puisque son budget va passer de 172 milliards (en 2020) à plus 400 (en 2021, 2022 et 2023). Elle va exercer le contrôle de l’emploi des fonds par les pays membres : un nouveau contrôle européen sur les mesures nationales ! 


Le plus étonnant est que le remboursement de ces 750 milliards n’ait pas été défini par l’accord. Il doit se faire avec des ressources propres, mais celles-ci restent à définir. Il n’existe aucun consensus sur les mesures à prendre (Taxe carbone aux frontières de l’Union ? Taxation des multinationales ?).


Par ailleurs, la signature de l’accord a été accompagnée, d’importantes mesures de contreparties (dont des réductions de contribution budgétaire à l’Union) pour les pays opposés au projet. Cela contribue à une baisse des ressources ordinaires et par conséquent du budget des programmes classiques.


Macron a développé une communication qui confirme son positionnement européiste et fédéraliste. En qualifiant l’accord de «jour historique pour l’Europe», il exagère l’importance de la décision (et son rôle) pour pouvoir mener une opération de communication politique à des fins électorales en France. L’affichage d’une volonté franco-allemande est destiné aux électorats de ces deux pays. Angela Merkel, présente l’accord comme un succès, avant la présidence allemande de l’UE, pour les 6 mois à venir.


Les propos tenus par Macron sur la souveraineté de la France sont totalement invalidés par son actuelle communication. Quant à la souveraineté européenne, elle n'existe pas faute de l’existence d’un Etat, c'est juste un rêve fédéraliste.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que la France devrait bénéficier de l’ordre de 5% de l’endettement, soit 40 milliards. Cette somme ne représente que 40% du budget du plan de relance de 100 milliards annoncé par Castex. Si des ressources propres ne sont pas dégagées, les pays membres devront rembourser. Or la France assure 17% du budget européen ! L’opération présente un risque assez fort à terme pour notre pays.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se prononce contre toute augmentation de la participation financière de la France au budget annuel ordinaire de L'UE. Un risque réel existe, car une majorité au Parlement européen conteste actuellement la baisse budgétaire de certains programmes ordinaires en matière de défense, d’innovation ou de santé, suite aux contreparties liées à la signature de l’accord. Il est vrai que le Parlement européen a été tenu à l’écart de la négociation du Plan de relance.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) réaffirme son souhait de voir renégocier les traités européens, à minima, et d’assurer une orientation vers le développement de multiples convergences à géométrie variable entre pays membres volontaires sur des projets précis et concrets.


HONG-KONG : LA CHINE COMMUNISTE S’ATTAQUE AUX LIBERTÉS


Communication du MIL du 10 août 2020


Repère : Hong Kong est une ville de 7,5 millions d'habitants. Ancienne colonie britannique, elle a été rétrocédée par Londres à la Chine populaire en 1997, sous des conditions qui devaient demeurer valables sur 50 ans. Les engagements pris par Pékin viennent d’être remis en cause de manière brutale en juillet 2020.


Contrairement à ce qu’affirment les dirigeants chinois le statut de Hong-Kong n’est pas une question intérieure à la Chine, puisque son statut dépend d’un accord international.


Le 28 mai 2020, le vote de la loi sur la sécurité nationale à Hong-Kong par le parlement de la république populaire de Chine (RPC) a remis en cause le principe «Un pays, deux systèmes». Ce principe était censé garantir sur le territoire de Hong-Kong, jusqu'en 2047, les libertés publiques contrairement à ce qui existe en Chine continentale. Il s’agit de la réponse aux manifestations de masse du Mouvement pour la démocratie, puis aux succès électoraux de ses opposants aux élections de district à Hong-Kong le 24 novembre 2019.


Depuis le 30 juin 2020, date de l’entrée en vigueur de cette loi à Hong-Kong, la répression des démocrates s’est concrétisée par la disqualification de candidats non communistes, les arrestations d'étudiants et le départ en exil de personnalités de l'opposition. Selon les termes de la propagande communiste chinoise, il est question de punir «le séparatisme, le terrorisme et l'ingérence étrangère».


Enfin, le 30 juillet 2020, la cheffe de l'exécutif local, nommée à ce poste par l’exécutif chinois, a annoncé le report d’un an des élections législatives (renouvellement du Conseil législatif de ce territoire semi-autonome). Cette décision vise à éviter une déroute électorale des communistes sur le territoire de Hong- Kong en septembre. Le mouvement pour la démocratie pouvait espérer obtenir, pour la première fois, une majorité au sein du parlement. Les communistes se donnent un an pour reprendre le contrôle de la situation.


Les dirigeants chinois ont fait ce choix pour plusieurs raisons. Certaines seraient internes au Parti Communiste Chinois (PCC). Le PCC ne cherche plus à présenter la Chine comme un pays paisible, comme il l’avait fait avant pour «faire des affaires». Par ailleurs, Hong-Kong a perdu une part de son intérêt stratégique qu’il avait en 1997 à cause de l'expertise financière de Shanghai.

La Chine, jusqu’à présent, préservait ce centre financier et commercial de premier plan en Asie. Le statut économique exceptionnel est aujourd’hui gravement menacé. L’exil d’une part des habitants de Hong-Kong apparait grandement probable. Le gouvernement britannique se doit d'accorder l'asile aux hongkongais qui disposent d'un passeport britannique, mais au-delà, il a décidé de donner à tous les hongkongais, qui peuvent prétendre au statut britannique d'outre-mer, soit 3 millions de personnes, «la possibilité de vivre et de travailler, puis par la suite de demander la citoyenneté» au Royaume-Uni.


Les réactions diplomatiques se mettent en place progressivement. Les Etats-Unis ont annoncé des sanctions contre les responsables chinois qui violent les obligations internationales de la Chine en faveur de l’autonomie de Hong-Kong. Fin mai, Washington a déjà décidé de révoquer le statut commercial préférentiel de Hong Kong. Républicains et Démocrates sont tout à fait d’accord sur cette ligne politique, dans le cadre de la campagne présidentielle.


La police de Hong-Kong a ordonné l'arrestation de six militants vivant en exil au motif qu’ils seraient des «fauteurs de troubles qui ont fui à l'étranger». Ces appels à l’extradition ont entrainé la suspension des traités d'extradition qui liait plusieurs pays à Hong Kong : Allemagne, l'Australie, le Canada et la Grande-Bretagne afin de protéger les réfugiés politiques en provenance de Hong Kong.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que la guerre froide a été relancée par Pékin. Elle traduit la montée en force d’une ligne communiste impérialiste qui s’explique par la volonté de dissimuler le freinage de la croissance du pays et le décrochage complet d’une part importante de la population. Le Parti Communiste Chinois réagit en renforçant progressivement son rôle social et économique à l’intérieur. Les décisions chinoises peuvent présenter des risques pour la France.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que la France doit défendre les libertés et condamner la répression communiste à Hong-Kong, comme le font les Britanniques. Le ministre des Affaires étrangères a déclaré qu’il ne fallait pas «rester les bras croisés», mais aucune mesure, même symbolique, n’a été annoncée depuis. Quant à Macron, il a choisi de garder le silence.


MACRON IMPOSE LA PMA POUR LES COUPLES DE FEMMES

Communication du MIL du 24 aout 2020


Repère : Le projet de loi bioéthique comprenant l'ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules a été examiné en seconde lecture à l’Assemblée nationale. Macron continue à appliquer son programme présidentiel. Son opinion personnelle est à la base de son programme.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) réaffirme son opposition totale à la conception d’enfants sans père. L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux femmes seules, comme aux couples de femmes a pour conséquence de «fabriquer» un enfant sans père. Ce qui ira radicalement à l’encontre des intérêts de l’enfant.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate la multiplicité des problèmes posés par la «PMA sans père» :


-La reconnaissance de la filiation des enfants fabriqués (comment qualifier les parents, avant ou après la naissance) ;


-Le droit des enfants à la connaissance de leurs origines ;


-La disponibilité du sperme (stock, marchandisation des gamètes) ;


-Le stockage des ovocytes et pour combien de temps ;


-La reconnaissance en France des enfants nés d’une GPA réalisés à l’étranger, avant de pouvoir l’être en France dans un second temps ;


-Le bricolage de la PMA à domicile, avec la petite éprouvette du voisin ;


-La PMA post mortem (pour les veuves avec le sperme du mari décédé), etc.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que Macron a pris la décision politique de la PMA sans père. Il l’a exprimé de manière claire et sans nuance. Les multiples consultations et auditions ont servi de prétexte pour pouvoir, comme pour chaque sujet, affirmer que chacun a pu s’exprimer, alors que la décision était prise et que rien ne pouvait varier.


La méthode appliquée par Macron se résume à : «1. Je décide, 2. Je consulte 3. J’adopte ce qui a été décidé avant le début». Il se moque tout simplement des citoyens sur ce dossier comme sur d’autres (environnement, retraites, etc.). Il utilise une communication politique relayée par des journalistes courtisans, complices ou trop peu critiques.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) dénonce le fait que l’adoption de la PMA aux couples de femmes conduira naturellement, «au nom de l'égalité», à l'ouverture de la Gestion Pour Autrui (GPA) pour les couples d'hommes. La GPA est fondée sur la marchandisation du corps de femmes procréatrices devenant, de fait, des personnes proposant la location de leur ventre. Il s’agit d’une exploitation financière de leur corps qui se rapproche d’une forme de prostitution.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) félicite le Sénat pour le travail réalisé sur le texte de ce projet de loi (même si le résultat n’était pas parfait). Nous rendons, aussi, hommage aux députés de droite et du centre qui ont défendu des amendements pour corriger ce projet de loi à la fin de juillet 2020. Tous les élus, qui ont mené courageusement ce combat, méritent notre pleine reconnaissance, notre confiance et le soutien actif de nos militants et sympathisants.


LA DROITE RÉPUBLICAINE S’OPPOSE À LA POLITIQUE DE MACRON


Communication du MIL du 2 septembre 2020


Repère : Le maire d’une grande ville du midi, membre des Républicains vient de proposer que Les Républicains passent un accord avec Macron sur la base d’un programme commun.


Christian Estrosi, maire de Nice, a déjà fait part, depuis trois ans, de sa proximité avec la politique menée par Macron. Il est resté adhérent des Républicains pour conserver la mairie de Nice et ne pas avoir d’adversaire à droite. Il a réussi son opération. A peine élu, il tourne publiquement le dos à son parti pour proposer une stratégie suicidaire pour son parti et mauvaise pour le pays. Il critique Les Républicains, ses dirigeants et ses élus d’une manière inacceptable «en évoquant l’impasse et les divisions». Il est improbable qu’il trouve un quelconque écho au sein des Républicains au-delà de certains opportunistes.


A cette occasion, le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) rappelle juste que le programme de la droite républicaine, dont les grandes lignes sont connues et affichées, n’a pas de rapport avec celui de la gauche sociale-démocrate incarnée par Macron.


Le vote de la loi en faveur de la «PMA sans père» en seconde lecture à la fin juillet illustre ce clivage, tout comme la carence en matière de sécurité, de contrôle de l’immigration, de politique familiale, de reconnaissance du mérite (école, collège, lycée, etc.), de l’emploi, de la santé, de la protection de l’environnement et du pouvoir d’achat. Certes, Macron n’est pas marxiste, mais son caractère libertaire et sa politique d’évitement de tous les sujets de tension et de refus de l’affrontement sur tous les sujets conduit à l’inaction, source de désordre.


Macron se situe à l’antipode de l’esprit du gaullisme. Faire porter au technocrate Castex une étiquette de «gaulliste social» relève de l’escroquerie la plus pure.


Des sondages affirment que des électeurs de droite se laissent séduire par les discours de Castex et Macron. Cela est sans doute en partie exact, même si l’ampleur du mouvement est exagérée. C’est pourquoi, il faut redoubler d’effort sans cesse dans l’explication des mesures politiques du gouvernement et de ses conséquences pour les français.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que la priorité politique actuelle pour 2020 et 2021 repose sur les prochaines échéances électorales (sénatoriales en septembre, régionales et départementales en 2021), après les bons résultats des municipales en 2020. C’est ce qui va dessiner le paysage de la présidentielle de 2022.


Les enjeux portent sur : Le renouvellement des présidents de région LR, comme Bertrand, Pécresse et Wauquiez ; les écuries de Bertrand (La manufacture) et de Pécresse (Libres !) ont comme principal objectif leur réélection comme «sans étiquette» ; la conquête potentielle de régions par EELV, avec le soutien du PS, de Génération.s, du PCF et de LFI ; Le poids du Rassemblement national en l’absence de Front républicain peu probable en 2021 ; La possible disparition de LREM, comme parti politique, etc.


Il est aujourd’hui encore bien difficile de parier sur la couleur politique des Régions en 2021, comme celle des Départements. Elle sera très importante pour la présidentielle de 2022.


  

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