MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

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VI­GILANCE & AC­TION - N°  447 Avril 2023   


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


MACRON : LES SYNDICATS, LES MANIFS, LE CHAOS ET LE DÉSORDRE


Communication du MIL du 20 avril 2023


Une intersyndicale comprenant l’ensemble des organisations syndicales nationales s’est consolidé contre le projet de réforme des retraites avec les organisations représentatives (CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGT et FO) et les organisations sectorielles (FSU, Solidaires et Unsa).


Cette unanimité syndicale est exceptionnelle et surement temporaire. Elle est le fruit d’une succession d’événement et s’explique en grande partie par la politique sociale conduite par Macron depuis le début. Les organisations syndicales ont été unanimes pour combattre les deux réformes successives de l’assurance chômage. Macron a tenu, au maximum, à l’écart les organisations syndicales durant son premier quinquennat. Les critiques contre la gestion paritaire (Agirc-Arcco, Unedic) ont été la règle. Macron a monté des opérations de communication autour de convention bidon (convention citoyenne pour le climat) avec une sélection contestable de citoyens et en mettant de côté le Conseil économique et social et environnemental (CESE) qui est composé des partenaires sociaux dont les organisations syndicales. Il a renvoyé les syndicats aux seules négociations d'entreprise ou de branches professionnelles. Les organisations patronales ont également été touchées mais elles ont été discrètes ayant obtenu en contrepartie des réductions sur les impôts et les taxes sur la production.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate qu’une partie importante des partenaires sociaux travaillent sur le champ social pour obtenir des progrès. Ils ont poursuivi des chantiers sociaux, dont la négociation d’Accords Nationaux Interprofessionnels (ANI). En particulier, le dernier ANI, conclu entre syndicats et patronats le 10 février 2023, concerne le «partage de la valeur en entreprise» permettant de développer les dispositifs tels que l'intéressement, la participation, la prime de partage de la valeur (PPV). Cet accord s’inscrit pleinement dans l’esprit gaulliste du développement de la participation. Mais Borne n’a pas encore transcrit dans la Loi le contenu de cet ANI.


Les diverses manifestations syndicales, organisées contre la réforme des retraites, sont l’expression de la liberté et de la démocratie Française. Mais le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) condamne vigoureusement l’utilisation de la violence comme moyen d’expression des extrémistes de gauche et d’ultragauche lors de ces manifestations. Les services d'ordre des syndicats (UNSA, FSU, SOLIDAIRES, CFE-CGC, CFDT, CFTC, CGT et FO) se sont en partie reconstitués (200 membres pour la manifestation du 23 mars 2023 à Paris). Ils essayent de protéger les cortèges et sont en liaison permanente avec les forces de l’ordre présentes sur le terrain.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que le but de ces violences est de mettre en cause l’ordre républicain dans une logique insurrectionnelle et révolutionnaire. Les activistes d’extrême gauche et d'ultra gauche, les casseurs pilleurs, les délinquants des citées et les personnes violentes pour l’occasion, s’en prennent aux biens (mobiliers urbains, véhicules, vitrines) et aux personnes (blocages). Ils attaquent aussi les forces de l’ordre en organisant des affrontements violents (face aux jets de pierre, feux de poubelles et divers projectiles).


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL), comme beaucoup de citoyens, soutient les forces de l’ordre dans l’accomplissement de leur mission de maintien de l’ordre. Ils agissent, dans un cadre républicain, pour empêcher ou stopper les violences.


Afin de délégitimer ces violences, Macron devrait reprendre le dialogue social au niveau national. Il doit revenir à une politique sociale respectueuse de l’ensemble des partenaires sociaux. Il doit changer de politique, d'attitude mais aussi de ministre du travail (car il n’a pas réussi). Un gouvernement doit avoir un lien normal sur le plan social avec la majorité des forces syndicales qui sont réformateurs (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FO, UNSA). Ces derniers sont majoritaires dans le secteur privé. Le gouvernement doit aussi garder un dialogue avec les organisations à caractère «révolutionnaire» (CGT, FSU, SOLIDAIRES). Macron doit empêcher le blocage du pays (essence, gaz, électricité, port) qui pénalise la situation économique.


Mais, Macron, en laissant le chaos et le désordre s’installer, ne veut-il pas apparaitre, demain, comme le Président de l’ordre et du rétablissement de l’ordre.



ÊTRE OU NE PAS ÊTRE DE DROITE EN 2023


Communication du MIL du 4 avril 2023


Repère : Un acteur connu à qui l’on demandait s’il était de droite a répondu qu’il n’était pas de gauche, puis s’est mis à expliquer longuement pourquoi il n’aimait pas la gauche et pourquoi il aimait la France.


Être de Droite se caractérise d’abord par un rejet des forces et des idées de gauche. C’est-à-dire, d’une part, sur un rejet de Macron et de sa politique sociale-démocrate, d’autre part, sur une dénonciation des socialistes toujours à l’affût et, enfin, sur une opposition frontale avec les forces d’extrême-gauche, c’est-à-dire les insoumis, les communistes, les écolo-radicaux, les trotskystes et les diverses ultras gauches.


Les principales convergences qui existent entre les partis politiques représentés au Parlement et les divers groupes politiques de droite (micro-partis, clubs politiques, fondation, associations) portent sur des adversaires et des ennemis communs. Il faut bien reconnaitre que la droite, à part les gaullistes, n’a jamais eu vocation à disposer d’une idéologie installée. Tout le contraire des gauches socialistes, marxistes, écologistes, qui vivent sur la base d’ensembles idéologiques précis, formulés dans des ouvrages comme déclinés à la tribune de leurs congrès (même si leur contenu est parfois fluctuant en fonction des années). La droite est un état d’esprit basé sur la défense de certaines valeurs fondamentales.


La droite partage des valeurs communes comme la souveraineté nationale, l’identité française (la tradition, la famille, la culture, la terre et les morts), l’ordre et la sécurité intérieure, la défense des frontières, l’équilibre financier de l’État, l’objectif de la croissance économique du pays et de l’emploi, l’indépendance nationale (agricole, industrielle et énergétique), le contrôle de l’immigration, le rayonnement international de la France. La droite dispose, aussi, bien de sujets de convergence même si les propositions ou formulations concrètes, des uns et des autres, diffèrent souvent assez fortement.

Mais les partis et les groupes, qui se revendiquent de droite, ont des positions opposées sur d’autres sujets, par exemple : les affaires sociales, les règles qui régissent la société, la politique étrangère de la France. Sans plonger dans les manuels de sciences politiques, il est possible de distinguer des droites multiples liées aux valeurs et aux idées ou aux responsables connus.


On peut citer la droite gaulliste, civique, patriote mais on peut aussi notamment citer la droite libérale, républicaine, chrétienne, conservatrice, catholique, sociale, démocrate, souverainiste, populaire, des élus, ouvrière, catholique, protestante ... , sans oublier qu’une certaine partie du centre est de droite. Il y a, aussi, la droite populiste, nationaliste, identitaire, intégriste qui rejette souvent les autres droites. Enfin, tous les groupes d’ultra-droite doivent demeurer hors du jeu, car opposés à la République et à ses Institutions.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se revendique être une association qui regroupe la droite gaulliste, civique et patriote et qui a toujours été au carrefour des droites sans jamais se présenter à des élections, ses membres, depuis la création, sont très majoritairement non adhérent d’un parti politique (à plus de 68%). À droite, il faut maintenir et développer un dialogue entre tous à l’exception des anti-gaullistes d’hier et d’aujourd’hui. Mais il faut écarter tous ceux qui participent aux petites manœuvres de débauchage des opportunistes professionnels, comme des carriéristes sans convictions dont le seul but est de se faire élire. On en trouve partout, regardez les changements de parti politique pour obtenir une place d’élu.


Ce dialogue ne peut être qu’un dialogue et non une entente, ni un programme commun, ni une union sinon il faudrait définir qui seront les supplétifs sans droit de parole. Lors des élections européennes de septembre 2024, les différents partis présenteront des listes concurrentes pour avoir du financement, des élus (qui recevront une indemnité) et jauger leur poids. Encore là, aucune union n’est possible. Pour l’élection présidentielle de 2027, chaque famille politique présentera son propre candidat et au second tour comme au premier, les Français seront libre de choisir le candidat le plus capable de défendre et de redresser la France.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) souhaite qu’un candidat gaulliste puisse, en 2027, rassembler un maximum de Français pour remporter cette élection et ouvrir une nouvelle période politique. C’est pourquoi nous prônons un rassemblement des droites pour un candidat gaulliste, quel qu’il soit. Tout le monde sait que le projet de Macron et des gauches, est de promouvoir pour l’élection présidentielle, comme à chaque fois, une candidature d’ultragauche et une candidature nationaliste et identitaire afin de continuer leurs actions de destruction des valeurs fondamentales de la France.



MACRON, ADDITION DE MAUVAIS CHOIX OU INCAPACITÉ POLITIQUE


Communication du MIL du 23 avril 2023


Repère : Suite à la validation de l'essentiel des dispositions de la réforme des retraites par le Conseil constitutionnel, Macron a précisé, dans une allocution, ses priorités pour 2023 et a renouvelé sa confiance à la première ministre.


Récemment, dans une intervention à la télévision, Macron a juste annoncé qu’il allait poursuivre les initiatives, engagées ou annoncées, sans aucune précision, ni nouveauté, pour le moment. Il a abordé des sujets comme notamment la réforme du lycée professionnel, la mise sous condition du RSA, la fin de l'engorgement des services d'urgence pour 2024, le recadrage de Pôle emploi sous la dénomination de «France Travail», la transcription de l’ANI sur le «partage de la valeur», l’augmentation conditionnelle du salaire d’une part des enseignants assurant des remplacements, le suicide assisté. Il a, aussi, prévu des recrutements dans la justice et la sécurité.


Après avoir évoqué un délai de 100 jours (jusqu’au 14 juillet 2023) pour y parvenir, il semble viser la fin de l’année. C’est le cas par exemple pour la mise en place d'un «nouveau pacte de la vie au travail» pour notamment présenter des mesures pour favoriser l’emploi des salariés de plus de 55 ans. Les négociations entre les partenaires sociaux devraient prochainement démarrer.


Après l’adoption de la loi de réforme des retraites, Macron déclare souhaiter un apaisement social mais il n’a convaincu ni les partis d’opposition, ni les organisations syndicales. Même le patronat reste réservé. Il n’est pas possible de prévoir un retour au calme social, comme il l’espère, après la journée d’action du 1er mai.


La crise sociale et politique actuelle n’est pas institutionnelle, mais liée à certains responsables politiques (Macron, Borne et Dussopt). Des partis d’extrême gauche (EELV, LFI, PCF) et leurs responsables (Mélenchon, Hamon) continue de prôner une 6ème République et mettent quotidiennement en cause les institutions installées par le Général de Gaulle, institutions que nous défendons.


Or, les institutions de la Vème République fonctionnent bien, mêmes si c’est, malheureusement, au bénéfice des personnes élues en 2022 : Macron et ses députés macronistes.


Les politiques du «quoi qu’il en coûte» de Macron sont à l’origine de l’augmentation vertigineuse de la dette de la France. En plus, les taux d’intérêt ayant fortement augmenté, le coût de la dette devient de plus en plus pesant. Tout cela va conduire à des choix politiques de réduction drastiques des dépenses. Première victime, la loi de programmation militaire devrait renvoyer à plus tard l’augmentation du budget pourtant indispensable à nos armées.


Faute de «coalitions» possibles avec d’autres forces politiques, Macron prévoit le vote des projets de loi «texte par texte». Il s’agit de l’utilisation de la technique du saucissonnage, c’est-à-dire un piège que l’opposition doit refuser. Des sujets, comme le contrôle strict de l’immigration et les expulsions des sans papier clandestins, vont être mis au rebut. Parallèlement, il compte avoir recours à un excès de communication à travers le «Conseil national de la refondation». Les citoyens ne seront pas dupes.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) déplore que de nombreux enjeux, actuels et majeurs, ne soient pas pris en compte, comme notamment les mesures pour éviter les dérapages existants ou potentiels de l’intelligence artificielle (IA), la réduction du parc immobilier (dû aux contraintes écologiques), le coût prohibitif de l’accès au logement (et la chute du nombre des constructions), la protection de l’environnement et du patrimoine, le niveau scolaire insuffisant, et bien d’autres. Autre exemple, la loi de programmation nucléaire tarde à dessiner la nouvelle politique de production d’électricité. Le sujet est renvoyé à 12 ou 15 ans, rien avant 2035. Macron multiplie le renvoi des projets incontournables à des dates postérieures à son quinquennat. Il se défausse tout simplement sur les générations à venir, comme pour le comblement des déficits.



LE COMITÉ D’HONNEUR DU MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTÉ


Communication du MIL du 25 avril 2023


Julien AUBERT, ancien député du Vaucluse, président d’OLF

Francis BALLE, professeur des universités

Laurent BÉTEILLE, ancien sénateur

Auguste BLANC, ancien secrétaire général de la CSL, Président du Comité d’Honneur du MIL

Jean-Claude BOUCHET, ancien député du Vaucluse

Geoffroy BOULARD, maire du 17° arr. de Paris

Philippe BRIAND, ancien ministre, ancien député

Bernard CARAYON, ancien député, maire de Lavaur

Serge CAREME, chef d’entreprise

Pierre CHARON, sénateur de Paris

Jérôme CHARTIER, ancien député du Val d’Oise

Jean-Louis COSTES, ancien député du Lot et Garonne, maire de Fumel

Paul DEHEUVELS, membre de l’Académie des Sciences, professeur des universités

Denise FLOUZAT, ancien recteur, ancien membre du Conseil de la politique mo­né­taire

René FAURE, ancien directeur chargé de la sécurité du RPR et de l’UMP

Yves FOULON, ancien député, maire d’Arcachon

Jean-Pierre FOURES, ancien chef d’entreprise

Philippe de GAULLE, amiral (CR), ancien sénateur

Jacques GODFRAIN, ancien ministre, ancien député

Louis GUEDON, ancien député

Roger KAROUTCHI, ancien ministre, sénateur, ancien ambassadeur de France

Christian LABROUSSE, ancien recteur, professeur des universités, président du MIL

Jean-Pierre LECOQ, maire du 6° arrondissement de Paris

Henry de LUMLEY, membre de l’Académie des Sciences, directeur de l’Institut de Paléontologie humaine

Hugues MARTIN, ancien député, ancien maire de Bordeaux

Damien MESLOT, ancien député du Territoire de Belfort, maire de Belfort

Joël MORIN, ancien fonctionnaire de police chargé de la sécurité de Jacques CHIRAC, président de la République

Armel PÉCHEUL, ancien recteur, professeur des universités

Philippe PEMEZEC, ancien député, maire du Plessis-Robinson

Eddie PUYJALON, ancien président du Mouvement de la ruralité (LMR)

Didier QUENTIN, ancien député, ancien maire de Royan

François TERRANOVA, inspecteur général de la jeunesse et des sports

Jean TIBERI, ancien ministre, ancien député, ancien maire de Paris

Richard TRINQUIER, ancien maire, médecin anesthésiste

Philippe VITEL, ancien député du Var

Daniel VOLAN, ancien cadre d’entreprise

Pierre-André WILTZER, ancien ministre

Henry ZATTARA, professeur émérite des universités, doyen honoraire


MEMBRES DU COMITÉ D'HONNEUR DÉCÉDÉS :


René BESNAULT, amiral (CR)

Pierre BERTOLINI, ancien combattant, grand-croix de la Légion d’honneur

Raoul Bé­TEILLE, conseiller honoraire à la Cour de cas­sation, ancien député, ancien président du MIL

Henri BIZOT, président d’honneur de la BNP

Marc BLANC­PAIN, président d’honneur de l'Alliance française

Alain de  BOISSIEU, général d'Armée, Compagnon de la Libération,  ancien Grand Chancelier de la Légion d'Honneur, ancien président du comité d’H

Émile BOISSET, ancien délégué régional Rhone-Alpes du MIL

Jacques BOMPAIRE, ancien recteur, ancien professeur émérite

Roger BORIE, commandant de bord sur 747

Jacques BOYON, ancien ministre, ancien député

Christian CABAL, ancien député, professeur de médecine

Michel CARAGE, Compagnon de la Libération

Pierre CLOSTERMANN, Compagnon de la Libération

Joseph COMITI, ancien ministre

Pierre DEBIZET, ancien résistant des services de renseignements et d'action de la France libre, délégué général honoraire du MIL

Bernard DEB, ancien ministre, professeur de médecine, ancien député de Paris

Arthur DEHAINE, ancien député

Maurice DELAUNEY, Ministre Plénipotentiaire, Ancien Ambassadeur

Frédéric DELOFFRE, professeur émérite à la Sorbonne

Xavier DENIAU, ancien ministre, ancien maire

 

François DOUMENGE, ancien recteur, ancien président de l’ORSTOM

Roland DRAGO, membre de l’Institut, professeur honoraire des universités 

François-Georges DREYFUS, professeur émérite à la Sorbonne

Jean-Pierre DULAU, Compagnon de la Libération

Anne Marie DUPUY, ancienne député-maire

Yves DURAND, ancien recteur, professeur hon. des universités

Georges FLICOURT, officier parachutiste de la France Libre

Edouard FREDERIC DUPONT, ancien maire du 7 arr. de Paris

Jacques FOCCART, ancien chef de réseau de la France libre, ancien se­cré­taire général à la présidence de la République (1959/1974)

Robert GALLEY, ancien ministre, Compagnon de la Libération

Alain GRIOTTERAY, ancien député, ancien maire

Yves GUENA, ancien ministre, ancien président du Conseil constitutionnel, ancien président de la Fondation de la France Libre

Jacques GUGGENHEIM, chef d'entreprise

Michel HABIB-DELONCLE, ancien ministre, député honoraire 

Jean-Paul HUGOT, ancien sénateur, ancien maire

Lucien ISRAEL, professeur émérite de médecine

Gabriel KASPEREIT, ancien ministre, ancien député-maire

Bernard KERDELHUE, directeur de recherche au CNRS

 

Christian de LA MALèNE, ancien ministre, ancien sénateur

René LESECQ, Compagnon de la Libération 

Pierre LEROY BEAULIEU, ancien député

Jean LETOURNEAU, ancien ministre d'état

Ludwig Harry LINDORFER, ancien légionnaire, ancien permanent du MIL

Jacques MAILLET, polytechnicien, Compagnon de la Libération

Dominique MARCILHACY, président commission participation du MIL

Lucien MAROTEAU, ancien conseiller général

Jean MARSAUDON, ancien député-maire

Alain MICHENAUD, ancien délégué régional IDF, trésorier du MIL

Claude MICHENAUD, ancien fonctionnaire de police, collaborateur de Jacques Foccart

Pierre MESSMER, ancien Premier ministre, Compagnon de la Libération

Lucien NEUWIRTH, ancien ministre

Robert PANDRAUD, ancien ministre, ancien député

Charles PASQUA, ancien ministre d’État, ancien sénateur

Alain PEYREFITTE, ancien ministre, député-maire

Dominique PIONAT, maire et délégué régional aquitaine du MIL

Alain PLANTEY, ambassadeur de France

Jean-Paul POURCEL, ancien préfet

Éric RAOULT, ancien ministre, ancien député

Jacqueline RICHEROT, ancienne directrice politique du Dauphiné libéré

Paul RIVRE, Compagnon de la Libération 

Jean Paul de ROCCA SERRA, ancien député

Jacques ROUGEOT, ancien président de l’UNI, professeur émérite à la Sorbonne

Alice SAUNIER SEITE, ancien ministre

Robert SCHULER, ancien délégué régional Bourgogne du MIL

Maurice SCHUMANN, ancien ministre, Compagnon de la Libération

Pierre SIRAUD, Ambassadeur

Solange TROISIER, ancienne député

Edgard TUPË-TOMÉ, Compagnon de la Libération

Pierre de VERNEJOUL, professeur honoraire des universités

Bernard VILLEMOT, affichiste

Jean VOLVEY, Compagnon de la Libération

Fernand WIBAUX, ambassadeur de France


COMPAGNONS DE LA LIBÉRATION AYANT ÉTÉ ADHÈRENT DU MIL


Jean BALLARIN, Compagnon de la Libération

Gustave BARLOT, Compagnon de la Libération

Jean BELLEC, Compagnon de la Libération

Michel CARAGE, Compagnon de la Libération

Pierre CLOSTERMANN, Compagnon de la Libération

Alain DE BOISSIEU, Compagnon de la Libération

Pierre DELSOL, Compagnon de la Libération

Andre DEVIGNY, Compagnon de la Libération

Daniel DIVRY, Compagnon de la Libération

Jean Pierre DULAU, Compagnon de la Libération

Pierre DUREAU, Compagnon de la Libération

Robert GALLEY, Compagnon de la Libération

Alain GAYET, Compagnon de la Libération

Robert HERVE, Compagnon de la Libération

Pierre JULITTE, Compagnon de la Libération

Rene LESECQ, Compagnon de la Libération

Edmond MAGENDIE, Compagnon de la Libération

Jacques MAILLET, Compagnon de la Libération

Jean-Pierre MALLET, Compagnon de la Libération

Jacques MANSION, Compagnon de la Libération

Antoine MASUREL, Compagnon de la Libération

Pierre MESSMER, Compagnon de la Libération

Raymond MEYER, Compagnon de la Libération

Paul ODDO, Compagnon de la Libération

Jean Gabriel REVAULT D’ALLONNES, Compagnon de la Libération

Paul RIVIERE, Compagnon de la Libération

Jean ROSENTHAL, Compagnon de la Libération

Etienne SCHLUMBERGER, Compagnon de la Libération

Maurice SCHUMANN, Compagnon de la Libération

Edgar TUPET THOME, Compagnon de la Libération

Henri VERDIER, Compagnon de la Libération

Jean VOLVEY, Compagnon de la Libération